Funeraire Magazine
- n°210 octobre 2010
Les Pompes Funèbres Intercommunales
de l’agglomération
lyonnaise ont ouvert fin septembre
une agence à deux pas de
l’entrée de l’hôpital Edouard
Herriot. 3ème étape d’un plan
d’implantation d’agences de
proximité.
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Funeraire Magazine
- n°210 octobre 2010
Les établissements Sibottier ont
récemment ouvert leur chambre
funéraire à Selles-sur-Cher.
L’exemple d’une entreprise où
s’opère progressivement la passation
de direction d’un père à
sa fille.
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Funeraire Magazine
- n°210 octobre 2010
Les frères Virgo viennent d’inaugurer
fin septembre leur deuxième
chambre funéraire en
périphérie de Périgueux.
Implantée à Pelissac, au nord
est de la ville, elle complète
l’implantation initiale de Notre
Dame de Sanilhac, au sud ouest.
La réussite de deux maçons à la
tête d’une structure employant
aujourd’hui 50 salariés.
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- n°210 octobre 2010
Le 30 septembre dernier, dans
la commune des Mureaux, a été
inauguré le premier crématorium
des Yvelines, seul département
d’Île-de-France à en être
dépourvu jusqu’alors.
Immergé dans un espace vert, le
bâtiment intègre les nouvelles
nécessités architecturales pour
que l’accueil des familles soit
performant : parcours individualisé
des familles pour leur isolement,
choix entre grande et
petite salle de recueillement,
salon des retrouvailles...
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- n°210 octobre 2010
La fondation PFG a décidé de
mener une enquête en août 2010
avec le concours de l’IFOP auprès
de 1.500 personnes âgées
de 18 ans et plus. Le but : mieux
comprendre les perceptions des
Français en matière de rapport à
la mort, à la fin de vie, au deuil et
à leur propre mort.
Des extraits utiles de ce sondage…
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Funeraire Magazine
- n°210 octobre 2010
Ayant ouvert les portes de sa première
édition du 9 au 11 septembre
à Brescia, les organisateurs
ont prouvé qu’une alternative au
salon de Bologne est viable.
Ce salon est né de la volonté des
industriels italiens de la filière
funéraire qui veulent maîtriser
directement les rouages commerciaux
de ce type de manifestation,
à l’identique de la CSNAF
et du salon Funéraire au Bourget.
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- n°210 octobre 2010
L’enquête réalisée par le cabinet Ithaque pour le compte de l’Observatoire des Métiers du Funéraire
fait ressortir des réalités de filière :
- une promotion interne forte permettant d’aboutir à la direction d’une agence ou d’une entreprise
- des spécialités soumises à turn over comme les porteurs et les personnels d’accueil
- un âge de recrutement supérieur aux pratiques d’autres spécialités chez les porteurs
- des recrutements externes ciblés selon la fonction visée à l’embauche
Cette enquête rend compte également des difficultés ou non à embaucher et des critères qui prédisposent
à la réussite du recrutement.
Un document très intéressant, consultable sur le site www.metiersdufuneraire.fr
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- n°210 octobre 2010
Une révolution des pratiques de
présentation de contrats obsèques
s’opère cet automne.
Concernant la crémation, appelée
à doubler en moins de dix
ans, la baisse des coûts d’investissement
pour créer un crématorium
de proximité, conforme
aux nouvelles règles de protection
de l’environnement, va provoquer
un choc sur le marché
funéraire.
Fin annoncée du règne exclusif
des grands crématoriums et entrée
prochaine des PME dans le
club des investisseurs.
A méditer…
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- n°210 octobre 2010
Nous avons l’intuition que la FFPF va vivre une étape importante pour son
avenir en fêtant ses 40 ans à Funexpo.
Un syndicat peut-il disparaître ? Et bien oui !
Ce fut le cas de la CNPFL à la fin des années 90.
Celui aussi de la chambre syndicale du Choix Funéraire qui ne réussit à survivre
qu’en fusionnant avec la FNPF pour devenir une composante de la CPFM. Idem
pour la FNMF avec ses marbriers d’Ile de France.
Idem aussi pour la FNSFP fusionnant avec l’UPPFP.
L’équipe dirigeant actuellement la FFPF a patiemment et laborieusement entamé
une remontée de pente en restant indépendante malgré une véritable
descente aux enfers au début de la dernière décennie.
Rappelons le contexte du trentième anniversaire qui sonnait comme une victoire
sur le monopole communal.
De l’eau est passée sous les ponts, des méthodes ont été dépassées, des
hommes ont trépassé et d’autres se sont fait repasser.
La FFPF a finalement survécu grâce aux convictions de quelques uns qui ont
assuré la pérennité du syndicat en s’investissant bénévolement.
Et nous en arrivons à ce quarantième anniversaire.
Souhaitons à la FFPF un stand très interactif et une soirée réussie au sein du
salon Funexpo. Oui, mais après ?
Quels sont les atouts qui peuvent sensibiliser les professionnels à ses objectifs ?
Et comment peut-elle faire connaître le contenu de ses efforts auprès du plus
grand nombre sans recourir à de la pure et simple propagande publicitaire ?
Certaines entreprises hier militantes jurent aujourd’hui qu’on ne les y reprendra
plus. Comment faire revenir les déçus, les blasés, les trompés d’hier ?
Le syndicalisme indépendant est encore une formule possible à jouer sur
l’échiquier de la compétition concurrentielle qui se met aujourd’hui en place.
Mais selon quelles modalités et avec quel type de discours ?
Un sursaut de combativité et de transparence permettra-t-il la renaissance
d’une FFPF expurgée de ses vieux démons ?
C’est à chaque entrepreneur de le décider avec son implication ou non et les
modalités de celle-ci le cas échéant.
Le pire, pour la FFPF, serait d’avoir affaire à une molle indifférence.
Au sein de ce salon Funexpo, parions et émettons le voeu (pardon pour le jeu
de mot) que les responsables de la FFPF sauront convaincre.
Ce qui serait un pied de nez pour ceux qui veulent le contraire…
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